Résultats de recherche
42 résultats trouvés avec une recherche vide
- La prochaine exposition de Reza
📍Place du Panthéon, pour le Festival Quartier du Livre Du 30 mai au 10 juillet 2025, dans le cadre du Festival Quartier du livre , un festival autour du livre organisé par la mairie du 5e arrondissement dont le thème, pour son 10e anniversaire, est "Où va le monde ?" accueille l'exposition de photographies de Reza "La vallée de la connaissance" qui se tiendra place du Panthéon. Une visite exclusive avec Reza et Rachel Deghati est prévue le 4 juin de 17 à 19h place du Panthéon. Crédit photo : Reza
- 🎙️Reza lance son podcast : 101 Visages
Coup de ❤️ pour le nouveau podcast de Reza Un podcast passionnant qui fait parler une image 101 Visages est un podcast immersif qui explore les portraits et photographies du photojournaliste Reza, en dévoilant les récits humains et les contextes socio-politiques et historiques qui les accompagnent. Chaque épisode tisse un lien entre les images de Reza et les histoires qui les sous-tendent , offrant aux auditeurs une plongée profonde dans les réalités qui ont façonné ces œuvres emblématiques. De l’Afghanistan à Cannes, en passant par le fleuve Amour, les témoignages de Reza ouvrent la voie à d'autres experts, qui partagent leurs connaissances sur des sujets spécifiques, enrichissant ainsi la compréhension des événements et des lieux qu’il a immortalisés. Son 1er épisode sur Massoud, que Reza a bien connu, m'a donné la chair de poule. Produit par Les Ateliers Reza & Webistan Sur une idée originale de Reza et Rachel Deghati Réalisé, coordonné et mixé par Emma Sednaoui
- Reza : deux photos dont nous parlons dans l'épisode
Crédit : Reza
- 🎙️Nouvel épisode : avec Reza
Poursuivre l'exploration de l'art de l'attention avec Reza : « l’attention fait partie intégrale du travail de photographe » La photographie est une histoire d’attention. Une manière de capter l’instant, de saisir la lumière, de révéler l’invisible. Reza Deghati -il signe ses œuvres de son nom d'artiste Reza -, photo-reporter de renom, parcourt le monde depuis des décennies, armé de son objectif et d’un regard habité par l’humanité. Ses images racontent des vies, des résistances, des espoirs, et nous invitent à voir autrement. J'ai été extrêmement émue, et honorée, de recevoir ce grand homme à mon micro. Le regard qu'il porte sur le monde est singulier, comme son parcours et son travail. Son rapport à l'attention est essentiel, engagé et il le partage avec nous avec beaucoup de grâce. J'espère que cette conversation vous touchera autant que moi. A près des études d’architecture, il se spécialise en parallèle pour la photo, discipline pour laquelle il se fait remarquer, et arrêter, très tôt, vers 16 ans et bien avant la révolution islamique Iranienne. Il doit quitter l’Iran dès 1981 car ses photographies gênent, et ne peut pas, depuis, remettre les pieds dans son pays. Mais il parcourt le monde avec son objectif, et ses photographies montrent le chaos de la guerre de ses ravages et du désarroi des êtres humains pris dans la tourmente. L’année 1991 marque le début pour Reza d’une longue et étroite collaboration avec la revue National Geographic. Ses photographies ont fait l’objet de 25 couvertures du magazine. " Je ne suis pas photographe de guerre, je suis correspondant de paix " Dans cet épisode de L’Art de l’Attention, nous parlons de ce que signifie vraiment « regarder » : comment prêter attention au monde, comment raconter une histoire en une seule image, comment témoigner sans trahir. Avec Reza, l’attention devient un engagement, une éthique, une poésie. Quelques citations extraites de notre conversation avec Reza : « L’attention fait partie intégrale du travail de photographe » « J’écris l’histoire des autres, j’essaie de mettre ma photographie au service de l’histoire des autres, qui n’ont pas de voix », « On va défendre qqchose qu’on aime », « La photographie est comme une peinture, elle a ses règles aussi.» Lien vers l'épisode : https://smartlink.ausha.co/l-art-de-l-attention/en-conversation-avec-reza-l-attention-fait-partie-integrale-du-travail-de-photographe
- Merci au magazine SIMPLE THINGS pour cet article sur le podcast
Numéro d'août-septembre 2024
- Merci au magazine RESPIRE d'avoir distingué le podcast L'Art de l'Attention
Dans le numéro d'août-septembre 2024
- Nouvel épisode avec Marie Robert, philosophe qui rend la philo sexy au quotidien
Cela fait des années que nos chemins se croisent, sans jamais se rencontrer.Alors je suis heureuse et reconnaissante d'avoir un magnifique prétexte pour le faire. Marie Robert a réussi son pari : rendre la philosophie sexy. C'est d'ailleurs le nom de son projet, Philosophy is Sexy, qu'elle traduit et décline sous différentes formes : romans, essais, podcasts, cours, et ses chroniques quotidiennes sur Instagram, lues par près de 200.000 personnes tous les matins. Bien plus que des followers, c'est une communauté qui se retrouve et qu'elle fédère autour de ses textes. Marie a également ouvert plusieurs écoles Montessori pour les petits, car une de ses passions, c'est la transmission. J'ai rencontré cette jeune philosophe passionnée un beau jour d'hiver, dans une galerie d'art. Une conversation trépidante a suivi, où nous avons partagé notre passion mutuelle pour la transmission, l'éducation, les mots et les voyages. Marie décrit qu'elle envisage la philosophie précisément comme un art de l'attention, comment faire vivre cette attention au présent dans une société de l'immédiateté, ce qu'elle propose au quotidien dans ses posts du matin. Nous avons exploré ensemble comment elle a "hacké" les réseaux sociaux, pour exprimer sa liberté, comment être en pleine présence dans tous les interstices de l'existence, de la passion et de l'urgence de transmettre, comment les rituels lui permettent de rester debout, l'importance du voyage, du temps libre, de l'amour au coeur de nos vies. J'espère que vous sentirez, en écoutant l'épisode, le plaisir que nous avons pris à l'enregistrer. Et que cette conversation vous "parlera" autant qu'à moi.Quel beau cadeau que ces partages : merci Marie !
- Nouvel épisode avec Apollonia Poilâne, boulangère et entrepreneure passionnée : "le temps, c'est cet ingrédient essentiel qui ne dit pas son nom"
"Le temps, cet ingrédient essentiel qui ne dit pas son nom" Aujourd’hui, j’ai invité une boulangère et chef d’entreprise, Apollonia Poilâne, à converser avec moi. Quel mets plus universel que le pain ?Quel est l'ingrédient essentiel au pain, qui ne figure pourtant pas dans la recette ? (psssst : c'est le temps !)Cette conversation autour de l'attention, et autour du pain, nous a emmenées très loin ! Apollonia Poilâne, son nom sonne presque comme un parfait anagramme, c’est une jeune femme déterminée et énergique qui incarne avec intelligence la patience et cultive cet art de l’attention au quotidien, avec sagesse et humilité. Nous avons conversé de son rapport au temps, de la transmission, mais aussi de l’ancrage local, du rôle du boulanger, comment réconcilier la complexité et enfin, l’importance des rencontres au cœur de nos vies. Une conversation passionnante, qui aurait pu durer des heures, à croquer et écouter sans modération. Et n'oubliez pas : comme toutes les bonnes choses, si vous avez aimé ce podcast, il se partage, alors n'hésitez pas à l'envoyer à vos proches ! Partons à la rencontre d'Apollonia Poilâne...
- Quelques pépites de notre conversation avec Mathilde Laurent
« C’est vraiment l’attention à l’autre, je crois, qui est ultra développée chez moi. » « Pour moi, la vie ne fait sens que par les sens ». « J’ai petit à petit réalisé à quel point, finalement, le sens venait des sens, et puis j’ai dû réaliser aussi que parfois on peut vivre autrement que par ses sens, c’est à dire par l’intellect, par le raisonnement uniquement. On vit dans des sociétés où certains travaillent à s’éloigner de leurs corps et se réfugier dans leur intellect. » « Vivre, c’est respirer. Respirer, c’est sentir. Donc vivre, c’est sentir. » « Toute odeur aimée dans le présent comme dans le passé est le centre d’une intimité. Donc l’olfaction est le sens qui recouvre tous les autres. »- Gaston Bachelard « Vivre c’est respirer, respirer c’est sentir (on ne peut pas respirer sans sentir), donc respirer c’est sentir, et donc vivre c’est sentir.D’ailleurs on dit « je me sens vivant », on ne dit pas « je me vois vivant », ou "je m’entends vivant", on dit "je me sens vivant", donc c’est bien l’olfaction qui garde l’humain humain et pas un ordinateur, c’est l’olfaction qui garde l’humain humain et l’humain vivant. » « Ma mission de parfumeur, je crois, c’est de porter le parfum là où il peut être utile aux hommes. »
- Nouvel épisode avec Jean-Miguel Pire, sociologue et historien : l'OTIUM du peuple, essentiel comme loisir intelligent
Un nouveau mot indispensable : l'OTIUM Avez-vous déjà fait l’expérience de tomber sur un mot inconnu, aux consonances étranges, et qui nous devient rapidement indispensable ? Car, comment penser une idée, un concept, qui ne s'encapsule pas dans un mot de la langue française ? L’otium, en deux mots, c’est le loisir intelligent. C’est la capacité de développer son intelligence dans le temps libre, dans le temps dont on dispose vraiment (en dehors du travail) et sur lequel on n’a pas de compte à rendre. L’otium, comme loisir fécond, est un sujet qui tombe à pic alors que nous nous acheminons doucement vers le temps de vacances.Que faire de tout ce temps libre ? Choisissez-vous de le consacrer à scroller pendant des heures, et regarder des séries ? Ou au contraire, à l'otium : lire, converser, écrire, apprendre, créer... ?Comment ce temps non passé au travail peut nous rendre meilleurs, nous faire grandir, donner du sens, nous enrichir, stimuler notre esprit critique, et, par extension, servir la démocratie ? Notre invité : Jean-Miguel Pire, sociologue et historien Sa rencontre fut comme une évidence : il fallait que je lui tende le micro pour lui demander sa vision de l'attention. Jean-Miguel Pire est sociologue et philosophe, chercheur à l'Ecole Pratique des Hautes Etudes. Depuis sa thèse, cela fait plus de 15 ans qu'il se consacre à promouvoir l'otium, à travers l'art, l'éducation et la démocratie. Il a publié tout dernièrement un court essai, que dis-je, un manifeste, qui m’a bouleversée : L’Otium du Peuple, A la reconquête du temps libre (Editions Sciences Humaines). Il a également été rapporteur général du haut conseil de l’éducation artistique et culturelle de 2010 à 2013, conseiller de Gilles de Robien au ministère de l’éducation nationale en charge de l’éducation artistique et culturelle en 2005 et de Françoise Nyssen au Ministère de la culture. Son premier ouvrage sur l'OTIUM (Actes Sud, 2020) avait pour sous-titre Art, Education, Démocratie, et ce sont bien les trois valeurs qu'il défend pour réinvestir l'otium. Au cours de cette conversation avec Jean-Miguel Pire, nous avons évoqué les liens entre l'attention et l'otium : sa vision de l'attention, qu'est-ce que l'otium et pourquoi il est urgent de le réhabiliter aujourd'hui, l'histoire du mot otium : du terme "skhôle" chez les Grecs à sa disparition du dictionnaire, pourquoi l'otium est ce que nous avons de plus précieux et que le commerce essaie de nous voler : "Le mot NEGOCE est fondé sur cette racine latine qui est NEC OTIUM (la négation de l'otium) : il doit capter au maximum notre temps d’otium et même le nier." le rôle des entreprises pour réfléchir à l'otium, comment se réapproprier ce temps libre ? le rôle de l'éducation, pourquoi pas le sport ? et bien d'autres encore... Un grand MERCI à Jean-Miguel Pire pour cette conversation si éclairante. Réalisation épisode : Canal FuraxMusique du générique : Raphaël Théodore Bancou.
- Nouvel épisode avec Mathilde Laurent, créatrice de parfums pour la Maison Cartier : "sentir nous rend meilleurs"
Le nouvel épisode de mon podcast L'Art de l'Attention est sorti : c'est un bonheur ! 💫En conversation avec Mathilde Laurent, la créatrice des parfums de la Maison Cartier : "sentir nous rend meilleurs". @mathilde.laurent est la créatrice de parfums de la Maison Cartier. Et elle est bien plus que cela. Après ses débuts chez Guerlain pendant 11 ans, aux côtés de Jean-Paul Guerlain, où elle signe ses premiers succès (Pamplelune, Guet-Apens…), elle créée les parfums de Cartier depuis 2005, où elle a imaginé des jus tels que La Panthère ou L’Envol, et une collection de Haute Parfumerie, intitulée Les Heures, qui sont au nombre de 13. Car Mathilde Laurent est toujours là où on ne l’attend pas... La femme engagée 🌞Mathilde est un soleil, un astre tout feu tout flamme qui s'embrase quand elle partage sa passion et ses convictions. Ce qui marque immédiatement, quand on rencontre Mathilde, au-delà de son allure distinguée de punk chic parisienne et sa chevelure lumière, c’est son énergie solaire, son regard franc et déterminé, sa langue particulière. ⚡️Car Mathilde Laurent est une femme d’intuition, de convictions, et elle a une mission ; son dernier ouvrage, Sentir le Sens, est un manifeste, et chacune de ses créations est une œuvre d’art qui bouge les lignes de la parfumerie. C'est ce que nous allons découvrir ensemble aujourd’hui… 🎙Dans cet épisode... Au cours de cette conversation avec Mathilde Laurent, nous avons évoqué mille aspects passionnants de l'olfaction : l'attention à l'autre, l'hypersensorialité,inventer un nouveau langage et se réapproprier les mots,pourquoi bien sentir ne suffit pas,la révolution de la beauté, le gâteau cent fois bon (mais pas si bon !),comment la parfumerie ouvre à la tolérance,et bien d'autres encore... 🌍« Ma mission de parfumeur, je crois, c’est de porter le parfum là où il peut être utile aux hommes. » -Mathilde Laurent 💫Découvrons ensemble comment Mathilde Laurent conjugue l'art de l'attention au présent. Le podcast est disponible sur toutes les plateformes d'écoute de podcast.











